Le nouveau barrage, High Grand Falls, est un barrage de hauteur 115 m environ, qui crée une retenue de 5,5 milliards de m3, à buts multiples : hydroélectricité de pointe, soutien des étiages, soutien de l’agriculture de décrue, irrigation, protection contre les inondations.
Etudes d'exécution et surveillance des travaux de réalisation du nouveau barrage de Kissir, ouvrage financé au titre du programme de soutien à la relance économique (PSRE).
Nouveau barrage sur l’oued Taht, dans la wilaya de Relizane, en amont du barrage SMBA. Le projet retenu est un barrage voûte, de hauteur 44 m sur ses fondations. La capacité du réservoir est de 7 millions de m3. Le débit de pointe de la crue de projet est 1600 m3/s
Nouveau barrage sur l’oued SafSaf, dans la wilaya de Skikda, en amont du barrage de Zardezas, dont la retenue est largement envasée. Le projet s’oriente vers un barrage de hauteur 80 m environ, créant une retenue de 100 millions de mètre cube environ.
Ouvrage en BCR de hauteur 50 m environ, complété par des digues en remblai. Les travaux sont conduits par Cosider, qui a confié à ISL une mission de révision de la conception, et la réalisation des études plans d’exécution.
Gestion intégrée de la ressource en eau sur les pays de la corne de l’Afrique
Études de pré-faisabilité des Stations de Transfert d’Energie par Pompage (STEP) de Smir et Abdelmoumen
Analyse de la cohérence entre le Plan d'Action de Développement Durable du Bassin du Niger (PADD) et les programmes régionaux et nationaux
ISL participe à la réalisation de la cinquième tranche du programme d'électrification rurale global (PERG 5)
Ajout de production d’hydroélectricité comme vocation supplémentaire au futur ouvrage.
Améliorer la situation hydraulique de la plaine de Kairouan (Tunisie centrale) par l’interconnexion des deux barrages.
Constitution d’une base de données des centrales hydroélectriques françaises d’une puissance supérieure à 20 MW.
Etude d'impact hydraulique de l’aménagement hydroélectrique de Fomi (90 MW) en Guinée.
Impact du barrage sur les conditions hydrauliques et hydrologiques.
Résumé
Comme tout organisme de grand bassin transfrontalier, le mandat de la CICOS inclut l’examen des projets de grandes infrastructures hydrauliques, les grands périmètres irrigués.
La CICOS a confié à ISL deux missions d’expertise :
Projet
A la suite d’une analyse de la documentation, d’entretiens avec tous les acteurs dans le 4 pays membres de la CICOS (Cameroun, RCA, , RC, RDC), des priorités de développement des infrastructures hydrauliques ont été identifiées. L’analyse multicritères met en évidence l’intérêt de Grand Inga. Si son impact sur l’environnement est fort, son impact hydrologique et sa capacité à remplir les objectifs via une ligne interconnectée en font un projet structurant qui mérite un approfondissement des études comme cela s’engage aujourd’hui.
Le comparatif avec l’aménagement de plusieurs sites sur le bas Congo reste à mener. Ces sites se classent dans les 15 premiers aménagements selon les résultats de l’analyse. Ils sont situés dans une zone sensible du point de vue environnemental comme l’est Inga 3 et souffrent d'une puissance garantie moindre, bien que proche de la moitié des besoins en énergie de la sous région si l’on considère l’ensemble de la chaîne.
En se limitant strictement aux besoins énergétiques de la CICOS, les ouvrages du bas Congo au fil de l’eau, présentent des avantages par rapport au Grand Inga ; de plus, chacun d’eux peut répondre à une demande locale existante.
Les deux schémas de grande puissance (Grand Inga et chaîne de centrales sur le bas Congo) n’ont un intérêt que dans la mesure où ils s’inscrivent dans le grand réseau interconnecté PEAC/CEMAC.
Le barrage de Palambo est bien classé. Il allie une puissance garantie intéressante et une capacité de soutien d’étiage permettant d’améliorer de manière substantielle la navigation. Le premier point est particulièrement intéressant dans une zone qui souffre de débits d’étiage faibles ce qui limite le potentiel des centrales au fil de l’eau. Sa grande surface en eau a un impact hydrologique et environnemental non négligeable. L’ajout d’un transfert d’eau en augmentant la superficie de la retenue et impactant la ressource en eau serait susceptible de le déclasser. Les études portées par la CBLT fourniront des éléments de réponse précis à ce sujet.
La Commission Internationale du Bassin Congo Oubangui Sangha a désiré mieux apprécier les possibles impacts sur l’environnement et les usages du projet de transfert des eaux du Cong vers le lac Tchad ; suite à une analyse approfondie de la documentation, ISL a proposé d’amender les termes de références de l’étude portée par la Commission du Bassin du Lac Tchad et de réaliser une étude visant à comparer des stratégies de gestion de la ressource en eau en prenant en compte tous les usages et en particulier la navigation sur le fleuve.